28 janvier 2019
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Finie la guéguerre Saurel-Jeanjean. L'intrusion de l'ASPRI dans le débat a fait bouger les lignes. Lez'alabri offre un diagnostic gratuit , le SYBLE finance en partie certains travaux pour les habitants des zones rouges. Une réunion est annoncée Jeudi 31 janvier à 18 H au Nautilus
Nous ne bouderons pas cette avancée. Mais pour l'essentiel rien n'est prévu pour ralentir la crue d'amont et utiliser les étangs comme bassin de rétention. provisoire. Rappelons que les Palavasiens n'ont aucune responsabilité dans l'urbanisation massive du Grand Montpellier. Mais c'est sur le littoral que l'eau arrive d'amont de plus en plus vite et de plus en plus abondante, à pluie égale.
La réponse est : mettez la main à la poche et nous vous aiderons un peu et surtout avec des conseils qui ne coûtent rien.
Et les tempêtes marines continuent à être ignorées de fait.
Ce n'est donc pas le moment de baisser la garde!
HA
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21 octobre 2018
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Cette expression qui apparaît fréquemment est galvaudée à l'échelle d'un département d'où le danger d'une banalisation lorsqu'on ne ressent aucun des effets annoncés.. C'est aussi l'avis de Météo France puisque au cours des trois dernières années ont été étudiés des modèles divisant les départements en secteurs. L'alerte serait par exemple sur l'ouest de l'Hérault et non l'Hérault entier. Tant mieux.
Prédire avec exactitude est nécessaire, prévenir tout autant. Or dans le domaine de la prévention c'est l'immobilisme , dans notre secteur comme dans l''Aude. Est-ce bien raisonnable?
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16 octobre 2018
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Le ministre de l'environnement décrète cla catastrophe nationale. On ne pourrait faire moins. Mais les Palavasiens ont de la mémoire. C'est ce ministère qui a retiré la consolidation des rives du Lez entre la confluence de la Mosson et les Quatre canaux du PAPI pour cause d'économies. Si une catastrophe survient aux Quatre vents ou aux Premières Cabanes, ce que nous ne souhaitons pas il ne sera pas dédouané par la proclamation d'état de catastrophe naturelle.
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15 octobre 2018
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12:12
300 mm tombés en une nuit créent un désastre. Mais les avertissements n'ont pas manqué dans les dix dernières années. Et rien n'a été fait, sinon superficiellement. Les bons apôtres plaidant l'exceptionnel n'ont pas complètement tort. A un certain niveau la nature est très forte. Mais il est faux que rien ne soit possible.
Et cela ne justifie pas l'immobilisme et les économies au détriment de la sécurité. Dans notre secteur, en ce qui concerne au moins les études globales prenant en compte l'eau d'amont , les étangs et la mer le Président du SYBLE a annoncé une évolution favorable à l'ASPRI. De même pour protéger les Quatre Vents et les Premières cabanes. Reste à le réaliser , et que cela se traduise par des travaux préventifs impliquant l'amont aussi bien que l'aval. L'ASPRI a proposé des solutions, il faudra bien un jour les examiner, ou assumer les conséquences d'une catastrophe prévisible.
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24 juin 2018
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Les médias principaux ont choisi d'ignorer la fête. Il ne faudra compter que sur internet. L'affluence, loin d'être ridicule , n'a pas atteint le chiffre qui l'aurait rendue incontournable.
Mais les débats ont été suivis et leur contenu faisant apparaître des points de vues différents et parfois opposés a montré qu'il s'agissait de vrais débats. Les animateurs compétents ont exposé les données, donné des réponses fondées sur une bonne connaissance des dossiers.
Les 8 associations (il y en aura davantage l'an prochain) ont tout lieu d'être satisfaites de cette première.
Certes la question de l'efficacité a été posée à de multiples reprises. Jean-Pierre Molle a répondu en forme de conclusion. Au plan local, il y a une efficacité certaine , mais dès qu'uon atteint l'intercommunalité cela devient plus difficile. Et la marge de manoeuvres des eélus s'en ressent. L'Agglo de l'Or peut se permettre dans la commission chargée de l'écologie d'écarter l'étang de l'Or de ses préoccupations, préférant le recyclage des cartons et la filière bois. Entre les intentions et les actes c'est un véritable gouffre. Mais nous avons un atout maître : les besoins s'expriment et si nous nous y prenons bien les décideurs ne pourront pas éternellement les ignorer.
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8 juin 2018
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"Le SIGNAL est un immeuble de Soulac de Mer (Gironde) menacé depuis 2011 d'effondrement par l'érosion des côtes. Les propriétaires s'attendaient à être expropriés et indemnisés, faute de prévention. Une procédure de 7ans a abouti en Conseil d'Etat et au Conseil Constitutionnel. Les propriétaires ont perdu. La jurisprudence établit désormais que si un immeuble est jugé menacé par l'érosion marine, nul besoin d'exproprier et d'indemniser, l'Etat expulse pour raison de sécurité. Le préjudice pour les riverains concernésest estimé à plusieurs millions.
Nul besoin de vous expliquer pourquoi chez nous la Préfecture, le Département et les élus locaux non concernés opposent le repli dit stratégique aux travaux de prévention qui coûtent de l'argent. Expulser ne coûtera rien, il suffit de ne rien faire. La solidarité tant mise en avant n'existe pas. C'est déjà l'angle d'attaque aux Aresquiers et aux Premières Cabanes de Palavas, mais nul doute que progressivement au fil des ans cela concernera tout le littoral. Alors que la moitié de la population des Pays Bas vit sous le niveau de la mer depuis des siècles, rien ne serait possible dans l'Hérault.
Vous comprenez l'importance d'unir les gens concernés. Il n'y a aucune raison de se résigner, et dans le passé bien des choses impossibles sont devenues possibles. Pour cela il faut renforcer l'ASPRI qui est à la pointe du combat mais cela ne suffit pas. Palavas ne s'étend pas de la source à l'embouchure du Lez et subit les effets de politiques qui lui sont extérieures. Unir bien au-delà de la commune, imposer la solidarité dan les actes est impératif.
SAMEDI 23 JUIN 2018 AU PORT DE PEROLS
TOUTE LA JOURNEE A PARTIR DE 10 H00
LA FETE DES ETANGS ET DE LA MER OUVRE CE COMBAT
- Elle sera festive : chansons et repas à prix modéré, avec la liberté pour vous de choisir la solution,
l'horaire qui convient et de ne participer qu'à ce qui intéresse.
- Des stands d'associations vous les feront connaître et vous serez surprises et surprises de l'arc en
ciel !
- Des débats sur des thèmes (inondations, submersion et érosion, qualité de l'eau, envasement…)
- donneront la parole à qui le souhaite.
- Une conférence de presse (essentielle) est destinée à faire connaître les enjeux et nos propositions.
- Une union plus forte doit en sortir, permettant pour 2019 une fête encore plus belle pour de
nouvelles avancées.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS MAIS VOUS AVEZ BESOIN DE TOUS
SOYEZ PRESENTS ET PRESENTES LE 23 JUIN AU PORT DE PEROLS"
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31 mai 2018
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08:42
La loi littoral interdit toute construction dans la bande des 100 m. Autant dire qu'il faudrait raser Palavas. En réalité un véritable arsenal permet de la contourner . Les chinois ont inventé le jeu de go. Le but n'est pas de prendre mais d'encercler. c'est le principe de la loi élan. Les espaces inconstructibles entourés de deux côtés deviendraient constructibles. Dans le même temps les élus macroniens parlent de repli , et nous savons de quoi il s'agit.
C'est donc l'urbanisation qui rapporte et la destruction de cette urbanisation lorsque cela coûterait trop cher de la protéger.. Où est la logique dans cette politique de gribouille?
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16 mai 2018
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12:10
La Préfecture, le département et les élus locaux non concernés opposent le repli aux travaux de prévention qui ont l'inconvénient de coûter de l'argent. C'est l'angle d'attaque aux Aresquiers et aux Premières Cabanes de Palavas.
Nous soumettons donc à votre sagacité un cas tranché au plus haut niveau (Conseil d'Etat et Conseil Constitutionnel). Il fait donc jurisprudence. Le SIGNAL est un immeuble de Soulac de Mer menacé d'effondrement par l'érosion des côtes. Les propriétaires s'attendaient à être indemnisés, faute de prévention. Il résulte de leurs actions en justice qu'il n'y a pas de dispositif de solidarité pour tous les propriétaires d'un bien exposé à un risque naturel.
Traduit en français parlé à Palavas et ailleurs il n'y aura pas d'indemnisation. Cela a le mérite d'être clair. Et c'est l'ASPRI qui a raison de refuser cette logique mortelle qui fait payer les victimes.
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30 mars 2018
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L'AG ouverte de l'ASPRI a rempli la salle. En ajoutant les procurations près de deux cent personnes se sont senties concernées. Les faux semblants ont été mis à nu, et l'abandon du littoral par pouvoirs publics et collectivités territoriales démontré. Mais il y a aussi des avancées, le poids de l'association grandit , elle ajoute l'économie impactée par l'envasement et la pollution à sa feuille de route. Des promesses ont été faites qu'il va falloir tenir. Les médias ne s'y trompent pas . Midi Libre et la TV locale via internet lui donneront la parole. Une fête revendicative est annoncée au port de Pérols fin juin.
De très bonnes nouvelles.
HA
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26 octobre 2017
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Les services de l'Etat viennent de présenter le résultat de cinq années de lutte contre l'occupation illégale du littoral. 574 condamnations et 75 % "d'issues positives conduisant à la remise en état des terrains avant toute sanction pénale." Selon eux il peut s'agir de mazets somptueux ou de populations précaires. C'est le principe du pâté d'alouette à 50 % , une alouette et un boeuf. Dans la majorité des cas il s'agit d'une authentique chasse aux pauvres, caravanes délabrées ou habitats de fortune sans confort, témoignant de l'état de notre société. Le lecteur comprendra que de coûteuses procédures soient inutiles dans cet affrontement du pot de terre et du pot de fer.
Nous ne sommes pas défavorables à la lutte contre l'occupation illégale. Mais il y faut des conditions. Chasser quelqu'un qui ne sait où aller n'est pas une issue favorable.
Surtout cela ne doit pas servir d'alibi à l'absence de mesures pour protéger des maisons implantées depuis longtemps, cette absence étant baptisée "solution de repli" , comme à Palavas ou aux Aresquiers. Et à Palavas dans la longue lutte contre le comblement des étangs nous avons vu pire. ll n'y a pas si longtemps ce sont les associations qui étaient condamnées et le maire protégé lorsqu'il autorisait l'urbanisation d'espaces naturels. Enfin la préfecture en autorisant l'énorme urbanisation qui court de Montpellier à Pérols fait courir au littoral et à ses populations de plus grands risques que la cabanisation.
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