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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 08:20

 C'est  avec tristesse que nous avons lu l'article de l'Hérault du Jour (habituellement  plus critique  sur l'information  issue des notables locaux)  et titré  "la basse vallée du Lez bientôt entièrement protégée". Non que l'information soit fausse, et nous nous  félicitoons de la protection par des palplanches des habitations de Pérols proches du Méjean.  Mais nous rappelons au journaliste  et surtout à ses "informateurs" que la proximité des élections ne dispense pas de connaître la géographie. Certes la mégalomanie de Jeanjean l'a conduit à quitter l'Agglo de Montpellier. Mais le Lez et la Mosson, indifférents aux vicissitudes des féodalités locales , continuent à arriver à Palavas. , situé au coeur d'un complexe d'étangs communiquant tous entre eux.  Nous avons donc trois  correctifs à apporter :

          Palavas , en dehors des étangs , ne bénéficie d'AUCUNE PROTECTION , et l'élévation des digues, permettant au LEZ de contenir plus d'eau,  les aggrave pour les Premières Cabanes et les Quatre Vents. Une délégation de l'ASPRI l'a rappelé au Président du SYBLE  Cyrille Meunier il y a peu.  Et Palavas est l'extrême pointe de la basse vallée du Lez et de la Mosson.

          Port Carême , le port de Pérols n'est en rien protégé  contre les inondations par les travaux en cours. C'est l'étroitesse de la porte , seul grau de l'Or et un des graus du Méjean , qui fait que les inondatiobns mettent un temps infini à s'écouler.

          Le déversoir de la Lironde dévie  une partie des eaux  du Lez en cas de crue et protège Lattes , mais c'est pour  amener cette eau dans le Méjean.

       Notre intention n'est  pas d'opposer les communes entre elles. Toutes exigent légitimement d'être protégées , et le maire de Lattes a raison de défendre sa commune. Mais les dirigeants de l'Agglo ont le devoir de représenter tous les habitants, même ceux que la  lâcheté d'un Préfet et la bêtise d'un élu  ont  placés dans une autre  entité administrative. C'est d'un projet GLOBAL incluant l'amont  que les habitants ont besoin, et non d'une information tronquée. Quelques mots en fin d'article ne suffisent pas. 

                                                                                             Henri Ausseil

En réponse à une tribune libre parue dans L'Hérault du Jour (merci de nous avoir donné la parole)  , la rédaction locale a ajouté un sabot qui pose problème. Palavas devrait se tourner vers Jeanjean et l'Agglo de l'Or pour régler le problème des risques d'inondation,  because les compétences.  Répétons que la géographie se moque des circonscriptions humaines. L'eau des bassins du Lez et de la Mosson coule inlassablement  vers l'aval et franchit sans scrupules, la garce,  la "frontière" entre agglos.  Quand il s'agit de bassins de rétention en amont , l'agglo de l'Or n'a pas la compétence, pas plus que sur le territoire de Villeneuve  pour rétablir une vidange de l'Arnel vers Pierre Blanche. C'est pire pour la porte de Carnon qui est officiellement un barrage anti-sel.   Que peut faire l'Agglo de l'Or sur Palavas   ? une digue des Quatre canaux à la mer qui détruirait la commune ?   Quelle que soit la piètre estime en laquelle nous tenons le Maire de Palavas , sur ce sujet sa seule faute (elle est énorme) est d'avoir quitté l'Agglo. Pour le reste Palavas dépend étroitement de l'amont. Le Front de Gauche local   ne laissera pas Jeanjean  en paix, que les bons apôtres se tranquillisent, mais  ne  se  satisfera pas non plus des esquives de ceux qui possèdent le vrai pouvoir, Région, Département et Agglos.

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 13:51

salle bleue inondée fev 2004

Devant la salle bleue en février 2004. Le maire prétend pourtant que ce n'est jamais arrivé !  (photo ASPRI)

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 13:50

Commençons par le commencement : dès la sortie de l’Agglo  le 1er janvier 2005 Jeanjean a refusé de régler ce que la commune devait au SDIS (organisme départemental qui gère les pompiers), par exemple 220 699,82 euros au 25 janvier 2006. En 2011 la dette montait à 1 386 773,83 euros.  Notre maire a cru bon d’attaquer  le SDIS devant les tribunaux  administratifs, sa réponse favorite.

      Jeanjean- Janus (dieu aux deux visages opposés), parallèlement, tenait son conseil  municipal dans l’ignorance (au  moins les conseillers d’ opposition) de ce conflit  et proposait à ce  conseil municipal  du 23/9/2008 un vœu pour l’installation d’un centre de secours au Tenchadou !! Auparavant il avait négocié avec la société AMETIS la construction aux frais d’AMETIS d’un centre de secours en échange de l’autorisation de construire des logements à la Pourquière. Cherchez l’erreur.

     Le 26 mai  2009 il annonce au conseil municipal que « n’ayant pas  encore obtenu l’accord du conseil général pour réaliser une caserne  il renonce à exiger de la SAS AMETIS le paiement d’un tel équipement. »  AMETIS en pleure encore.   La discrétion naturelle du Maire l’a conduit à dissimuler les raisons de la lenteur du Département.

   Au bout de ses procédures toujours perdantes (qui créent des doutes sur ses capacités en droit) le Maire a fini par signer l’armistice. La dette est divisée par deux à court terme , avec un échéancier jusqu’à 2021 pour régler la totalité.  En 2011 les 241 020,99 euros  seront réglés , et la note honorée par la suite. Tout ceci est disponible dans le PV du Conseil Municipal  du 12 juillet 2011.

Le SDIS 34 armera le futur centre pour mai, juin, juillet, août et septembre.

De cette saga  plusieurs leçons sont à tirer :   beaucoup de temps a été perdu par l’obstination maladive de notre édile, il n’a rien obtenu puisque la commune doit tout payer, et il n’a pas eu la caserne qui s’est installée à la Grande Motte. Et ce qu’il a obtenu c’est un centre en saison alors que en 2012 le SDIS a enregistré 538 demandes honorées hors saison ( contre 339 l’été). Beaucoup de gens ont été mis en danger ou sont morts à cause des 20 à 30 minutes nécessaires à partir de la Grande Motte ou Montpellier.

      Un comité s’est créé qui fait circuler une pétition réclamant un centre à l’année. Signez là, il est temps de ne pas laisser la question en de si mauvaises mains.

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 18:39

La circulation sur la départementale  62 E 2  qui passe sur le grand pont entre le rond-point de l’Europe et le rond-point Broccardi, provoque des nuisances considérables  concernant le bruit de la circulation. Les riverains concernés ont constaté que la glissière en béton installée sur le pont, malgré sa faible hauteur, diminuait fortement la nuisance, car située très près des véhicules.

Devant la carence de la majorité municipale  Jean Pierre Molle  est  intervenu comme conseiller municipal d’opposition  auprès du Département de l’Hérault, avec l’appui d’une pétition signée par tous les gens concernés .  Il s’agissait d’obtenir que cette glissière soit prolongée de part et d’autre du pont jusqu’aux deux ronds-points. Plusieurs courriers et la participation à une enquête publique  ont permis d’obtenir satisfaction.

    Il a reçu la réponse suivante  du Département :

Monsieur le Conseiller Municipal,

Votre courrier en date du 2 mars 2013 concernant les nuisances sonores au droit de la RD62E2 à Palavas-les-Flots a retenu toute mon attention.

Consciente de la gêne occasionnée à vos administrés en terme de nuisances sonores et sensible à votre demande de traitement égalitaire, les travaux de prolongement de la glissière seront exécutés de part et d'autre de l'ouvrage supportant la RD, de l'avenue Abbé Brocardi jusqu'au giratoire de l'Europe. Ces travaux devraient intervenir avant l'été 2013.

Restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire,

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Conseiller Municipal, l'expression de mes salutations distinguées.

Depuis, les travaux ont été réalisés. 

 

    Ce succès contient une grande leçon : lorsqu’ un problème surgit, il vaut mieux compter d’abord sur soi–même (par exemple une pétition massivement signée)   et trouver au moins un élu qui porte cette revendication.  C’est comme cela qu’on obtient satisfaction.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 07:37

Voici le courrier adressé  à Hérault Transports,

"Madame la Directrice générale,

      Tenant compte de votre courrier  du 12/12/2012 et de la conversation téléphonique  du 19/02/2013 avec M   R. Calvat je crois nécessaire de clarifier un certain nombre de données :

·         Nous ne demandons la fermeture DE QUELQUE LIGNE QUE CE SOIT. Palavas est toute  en longueur sur 5 km et les besoins de l’avenue St Maurice  ne sont pas les mêmes que ceux des habitants du centre.

·         La désaffection des étudiants pour les meublés palavasiens ne vient pas de la politique culturelle de Palavas (qui ne nous convient pas)  mais de l’inadaptation des transports actuels.

·         Il est inexact qu’aucune commune ne dispose de deux lignes. La ligne de Villeneuve  dessert certains points de Lattes et c’est très bien. 

·         Notre demande n’est pas ruineuse financièrement parlant. Ce qui  l’est au contraire c’est la circulation  de cars aux trois quarts vides,  qui contrastent aux yeux de tous avec les cars bondés de la  défunte ligne 131.

·         Une ligne Garcia Lorca-  Pérols  par rapport au système actuel  ne représente que l’adjonction du tronçon  Garcia Lorca -Les Quatre vents  dont le coût serait largement compensé par le supplément d’usagers qui en résulterait.

Pour nous le service public , pour remplir pleinement son rôle , doit être adapté aux réalités . C’est pourquoi nous réitérons la demande d’une étude et demandons que vous relayiez notre demande auprès des autorités concernées.

   Recevez, Madame, l’expression de mes sentiments dévoués au service public."

Les élus doivent prendre leur responsabilité en cessant de jouer à la baballe sur le dos des usagers.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 06:38

M  Bourel président de l'agglo de l'Or répond à Jean Pierre Molle qui protestait contre la hausse du prix des abonnements en secteur collectif  et le prix de l'eau en général. Voici des extraits de son courrier

"En réponse à votre courrier du 7 janvier 2013, je vous précise en premier lieu que les contrats de Délégation de Service Public de l'Eau et de l'Assainissement sont arrivés à leur échéance fin 2011 et ont été renouvelés au 1 er janvier 2012.

Les recettes de la collectivité servent à équilibrer un budget consacré exclusivement à des charges liées à l'eau et à l'assainissement. Ces dernières sont principalement constituées de dépenses d'investissement, particulièrement importantes ces dernières années en raison du programme de rénovation de l'ensemble de nos stations d'épuration (de l'ordre de 60 M € HT).

Ce programme a nécessité une hausse des recettes pour y faire face, d'autant plus significative que les subventions sont revues à la baisse depuis plusieurs années, contrairement aux contraintes et objectifs réglementaires qui nous sont assignés et qui ne font que croître.

Le prix facturé par le délégataire résulte des conditions financières obtenues à l'issue de la mise en concurrence pour les nouvelles délégations de service public. La définition de ce prix, qui résulte de négociations serrées avec plusieurs candidats, est également le reflet d'un service plus ambitieux à destination des abonnés, avec notamment, comme avancée concrète pour l'usager, la mise en place de la télé-relève.

L'ensemble des infrastructures liées à l'eau et à l'assainissement, sur le territoire du Pays de l'Or Agglomération est prévue pour assurer la distribution d'eau, la collecte et le traitement des eaux usées d'une population totale correspondant à la population en période de pointe estivale. Les charges fixes du service résultant d'un dimensionnement des infrastructures d'eau et d'assainissement pour les besoins de la pointe estivale (triplement par rapport au reste de l'année) sont nécessairement élevées.

Enfin, la signature des nouveaux contrats a été l'occasion pour la collectivité d'harmoniser les tarifs sur le territoire. La transition entre huit anciens contrats d'affermage  et trois nouveaux contrats à court terme a conduit à une indispensable et inévitable harmonisation tarifaire qui a généré une baisse du prix de l'eau pour certains et à une hausse pour d'autres.Toute facture d'eau comprend un montant calculé en fonction du volume réellement consommé par l'abonné et peut, en outre, comprendre un montant calculé indépendamment de ce volume en fonction des charges fixes du service et des caractéristiques du branchement, notamment du nombre de logements desservis. La facturation de la part fixe au logement est directement liée au prix de l'eau et ne constitue pas une individualisation des contrats de fourniture d'eau, pour laquelle la souscription d'un contrat individuel avec le service public de distribution d'eau s'impose alors à tout occupant pour bénéficier de la fourniture d'eau, ceci par le biais de la mise en place de compteurs individuels gérés par le délégataire. "       Plusieurs choses importantes sont dites :        La gestion est privée mais les dépenses sont publiques. le lien est établi entre l'amélioration du réseau , la pointe estivale et la hausse du prix de l'eau.   M Bourrel affirme simultanément que la gestion n'est pas individualisée  et que le contrat est individuel. Les contribuables subissent donc la double peine :  comme contribuables de la commune et comme usagers.  On a donc du mal à apprécier les bienfaits de la délégation de service public par rapport à la régie municipale, sinon le transfert d'une partie des impôts locaux vers le prix payé au concessionnaire. Il s'agit donc d'une hausse déguisée des impôts.

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 09:20

Top-3 modifié-3

 

 

    Comme vous pouvez le  constater Maurin sera impacté par le tracé TGV et la nouvelle A9.  Il serait peut être temps d'envisager un mur anti bruits.

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 07:36

Lors des dernières pluies des dysfonctionnements  sont clairement apparus , créant  de gros problèmes aux cabanes du Salaison mais aussi aux cabanes de Carnon et de Pérols.  Les services de la communauté des communes de l'Or  sur lesquels l'Etat  s'est déchargé  de la gestion de la porte de Carnon ont oublié de fermer la porte et la mer a envahi les étangs en raison de la tempête. Les habitants ont prévenu les pompiers qui  ont rapidement fermé la porte mais le mal était fait :  le niveau des étangs mettait en danger les riverains  , y compris à l'Arnel car tous les étangs communiquent. L'augmentation de la salinité qui en résulte est tout aussi dommageable.

    Jean Pierre MOLLE président de l'ASPRI a écrit au Département  pour le mettre devant ses responsabilités :  li réclame le retour de la gestion de la porte aux services de navigation de l'Etat, qui l'avaient toujours fait dans le passé.  Il faut une gestion attentive qui ouvre et ferme dès que c'est nécessaire , ce qui suppose une surveillance permanente. Il réclame également le redimensionnement de la porte de Carnon.  La sécurité face aux inondations sera un des enjeux des législatives dans le secteur.

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 06:27

   Notre secteur est un lieu de passage importantissime , traversé par l'A 9,  Les routes menant vers Palavas, la Grande Motte , Carnon et la future rocade sud . Plus le futur TGV.  Un habitat antérieur à la création des grands axes  a dû s'adapter  mais pas se résigner aux nuisances qui en découlent.  Nous avons identifié trois secteurs  au moins qui exigent des aménagements contre le bruit:   Lattes Maurin  en premier lieu  étant donné le trafic actuel et annoncé, la zone du port de Pérols et la zone du grand pont et du rond point rive gauche de Palavas.  Partout des associations luttent , avec des bonheurs divers.

   A Pérols des promesses avaient été faites , des crédits votés (soit disant).  Ils demandent confirmation et la réalisation du mur antibruit  s'éloigne comme la ligne d'horizon quand on se rapproche de sa "réalisation". Des tentatives de division des riverains existent. Rappelons avec force qu'une isolation phonique individuelle interdit d'ouvrir les fenêtres l'été, un comble sous nos climats.   Sans parler de l'utilisation des terrasses.

A Palavas le Département promet des aménagements   A Lattes les projets de doublement et de   TGV ne disent rien des riverains.

   Se faire entendre , c'est la seule solution.   Faisons en un des objectifs des campagnes électorales qui s'ouvrent. Ce qui ne dispense pas de continuer à agir avec les gens concernés.

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 08:12

L’AGGLO de Montpellier   après Frêche garde le cap… mais sans la décharge que ce dernier  avait prévue.   Elle "exporte" actuellement  ( chiffre avancé par JP Mourre) 16 000 tonnes par an,  non compté ce qui est brûlé à Lunel viel.  

    Comment va -t-on   régler le problème ?

 

     - un centre de recyclage piloté par Emmaüs   (avec 40 emplois à la clé) sera mis en place à pignan. Il ne concerne que les objets réutilisables. C’est mieux que rien mais  peu de chose comparé aux  16000 tonnes citées précédemment.  C’est une avancée nécessaire dans le tri, mais pas le règlement du problème.

      -  l’usine de méthanisation  au rendement mirifique sur le papier, bien moindre en réalité va être réparée .  l’incendie a coûté 3 millions couverts par l’assurance (qui augmentera sa prime)   mais le traitement  nécessaire des  nuisances    (odeurs par exemple)  sera à la charge du contribuable.   Son bilan futur se révèle digne d’Alice au pays des merveilles .  Au plus fort de son fonctionnement (foi d’animal)  elle pourra traiter 30 000 tonnes de déchets provenant d’autres territoires.  Dans un raccourci saisissant  on peut soustraire de ce chiffre les 16 000 tonnes actuellement exportées et en conclure que la décharge devient inutile. C’est probablement le but recherché.  Mais c’est une contre vérité. Les déchets « méthanisables » en provenance de l’AGGLO  et de  tout le département pourront certes être traités mais ne seront pas détruits à 100%.  Surtout  le problème des déchets non utilisables  pour la méthanisation  (la majorité) reste entier.    La filière bio déchets annoncée  concurrence la méthanisation mais ne s’y ajoute pas.  Le compost ou le méthane  proviennent du même type de déchets,  en gros.

-         7 % des déchets devraient être supprimés d’ici 5 ans.   Les habitants vont être éduqués ainsi sans doute que les enfants des écoles.

 

     Ces calculs dignes de Perette et son pot au lait nous inquiètent beaucoup. Nier un problème ne le fait pas disparaître.  Rappelons que c’est sur la question des déchets que s’est jouée l’élection municipale de Naples.

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